Le tout en 3 mots

C'est la tête largement enfoncer dans le murs que j'écris ces mots.
Au summum du écouragement, les neuronnes en grêves, je m'étale tel du nutella sur le web.

"Quoi encore..."

Mes voisins disfontionnellement sympathiques ( Salut Aude ) vous diront que l'Aubergine résume la vie en 3 mots. Naitre, vivre, mourrir. Soif, bière, lendemain de veille. Steack, blé d'inde, patate...

Dans la plus part des situations "résumante 3 motistes" il y à un groupe de mot qui me vient souvent à la bouche. Évennement, Émotion, Raison...

Normalement nous avons l'évennement. Que ce soit un baiser langoureux d'un inconnu, une bombe nucléaire artisanal de sous sol qui à mal tourner ou des patates douces brûlée,(sh*t) l'evennement arrive toujours. Même cacher dans un garderobe, il viendrait à nous. Cacher banalement dans une raie qui pique ou une vie pressante de panini.

Suite à l'évennement, vient l'émotion. Dans certain cas on peut aussi dire, léger débordement intence du flow metaphysique mitochondrique. Mais on comprenderait pas grand chose. Donc on dit l'émotion. L'émotion est comme un farfadet alcoolique, cacher dans le creu de la nuque il surgit sans qu'on l'invite. Tel un Jimmy dans la brûme, on à jamais vraiment envie de le voir. MAIS, il faut. Sans l'exubérence de l'émotion l'humain s'appellerait une roche.

L'émotion ce vit toujours d'une manière hypocrite. Soit l'émotion vomi sans crier "Tasse-twé", soit qu'il reste en dedant et buche sur ces parois cervical interne ou il défonce tout sur son passage en hurlant de terreur, les bras dans les airs.

Mais, tel une bonne frête au cassis, l'émotion est ephémère. Il passe. Diluer avec le temps, on fini par l'oublier. Même que souvent, on apprend à se tassé quand l'émotion vomi.

D'ou vient le dernier mot. La raison.

Cette petite voix déplaisante qui chantonne doucement: "Jte l'avais dis..." La raison vient avec l'acceptation de l'évennement. La raison arrive, yukulaylay à la main, chantant un air de Jack Johnson, s'installe confortablement ou l'émotion à fait des ravages et analyse le tout. Souvent la raison nous offre un verre de "Ciboire que t'a réagit fort pour rien". Qui se boit cul sec. Tel un mauvais whisky, il décape le fond de l'âme avec une saveur acre d'orgeuil mal placé.

Fait chier la raison...

Mais le pourquoi du découragement c'est justement la raison. Souvent tellement lâche, elle vient pas. L'émotion fini par prendre toute la place. Ou, finalement quand elle arrive, on la sacre dehors à grand coup d'orgeuil. F*ck...

Est-ce que l'homme ce rend compte des fois que l'absentéisme de la raison peut pousser à la dérision et même à l'abolition des relations? Hibou, chou, genou!?

Il y à un autre trio que j'aime. Confrontation, acceptation, contuinitiation. J'ai hate que l'homme soit capable de mettre aisement ce trio sur la glace. Ça pourrait faire un beau jeu!

Comme dirait un vieux chanteur Québecois que je ne connais pas le nom.
La terre pivote et atour d'elle, des âmes qui flamment.

2 commentaires:

Meg a dit...

Ho comme il est bon de te lire enfin je commencais a m'ennuyer sérieusement d'une petite chronique de l'aubergine moi

Meg

Aubergine a dit...

Désoler Meg, ainsi vient l'inspiration :)